lundi 25 mars 2013

Ça ne rentre toujours pas


ÇA NE RENTRE TOUJOURS PAS:
Fin du contrat social délirant! Démocratie équitable!


Qu'on arrête une bonne fois les salades. Il ne s'agit pas de droits que l'on refuse à certains: tous les hommes en âge et non encore engagés peuvent se marier, et également toutes les femmes. Il s'agit d'impossibilité physique et métaphysique, qu'on devrait prendre en compte, si l'on veut rester libre et pouvoir exister encore.

Çà ne rentre toujours pas, et pourtant ce n'est pas faute d'expliquer et d'argumenter! On aura beau dépenser les millions d'euros qu'on n'a pas, en sexotechnologie, cela ne sera pas efficace contre les limites non pas seulement de la biologie, mais même de la physique. Voici donc un dessin. Jamais un sexe masculin ne pourra pénétrer un autre sexe masculin: ça ne rentre pas. Jamais un sexe féminin ne pourra accueillir un autre sexe féminin: ça ne rentre toujours pas. Pas de copulation possible, donc pas de couple, et pas de mariage, et pas de procréation: dans l'univers régit par la physique et la biologie telles que nous les connaissons, ça n'existe pas. Faire croire qu'on y arrivera: c'est un mensonge; proclamer que c'est un droit: c'est provoquer une frustration atroce et mortifère. L'étendre à l'ensemble de la société de façon totalement irresponsable, loin de compenser l'aliénation, c'est l'exacerber davantage.

Fin du contrat social délirant: il n'y a jamais eu un seul individu dans nos sociétés. Il n'y a que des personnes, « tous nés d'un père et d'une mère », comme le martelait un slogan récent, c'est-à-dire des gens qui sont dès leur conception en relation avec d'autres, dans la réalité même de leur nature et de leur existence. La base de la société ce sont des familles, et non pas des individus. Si l'Etat ne veut pas être tyrannique, il doit se référer aux familles qui le précèdent chronologiquement et naturellement, et non pas aux citoyens: il les invente de toutes pièces comme ses pseudo-partenaires, décrétant leurs droits et leurs devoirs dans un arbitraire d'autant plus pervers qu'il se pare du masque de la participation. Mais les masques tombent et la violence est extrême: tous les indicateurs sont dans le rouge, c'est le cas de le dire en pensant aux chiffres de l'avortement, par exemple. Mais il en est de même, au-delà de la démographie, pour l'éducation, la culture, le chômage, la famille, l'entreprise, l'agriculture, l'industrie, la monnaie, la sécurité, la Défense, la politique, la religion.

Démocratie équitable: cela signifie la représentation de la société réelle telle qu'elle est. Ses forces vives effectives sont d'abord les familles, pourvoyeurs de la ressource la plus précieuse: l'homme lui-même. La politique est la recherche du bien commun, tel que chacun peut le reconnaître en soi-même et dans l'autre: l'humanité même de l'homme. Les lois formulent un droit positif subsidiaire, qui relaie là où c'est nécessaire le droit naturel et chrétien, c'est-à-dire ce qui est inscrit dans la conscience de l'homme lui-même, sanctuaire où la voix de Dieu se fait entendre.

En France où nous sommes, l'héritage de cette alliance des familles avec la Famille de France, nous est envié par tous. Qu'on arrête de le dilapider, pour en tisser notre bonheur en recommençant à le développer d'un commun accord. Car l'aîné de la Famille est disposé à assumer la charge qui lui échoit de par sa naissance. En effet, la Providence a voulu pour notre pays, que par analogie du droit naturel, la légitimité du pouvoir soit affranchie des aléas de l'histoire et des volontés simplement humaines, pour tenir une stabilité et une continuité garantie par l'ordre des générations. C'est ainsi que sans qu'ils le sachent, depuis la mort de Louis XVI, les français ont toujours eu un roi légitime, et c'est encore le cas aujourd'hui. Cela tombe à merveille: plus d'un million et demi de français demandent depuis hier à Paris le départ du chef de l'Etat.

Démocratie équitable: pour le retour du bien commun: Louis XX , roy de France.

كفانا من العبث والكذب العلاقة الجنسية بين الرجل والرجل مستحيلة وكذللك بين المرأة والمرأة من هنا لا زواج ولا انجاب اطفال ولا حقوق ايضا
كما ان العقد الاجتماعي كما ورد به روسو يحتوي على اخطر خطأ اذ يعتبر العلاقة بين الفرد والدولة غير ان المواطن الفرد لا وجود له في الواقع وانما اساس المجتمع هو الاشخاص الذين ينضمون من اول لحظة الى الاسرة يعني انهم اصشخاص يعيشون في علاقات متبادلة طبيعية قبل العلاقات السياسية لذلك نطالب الان بديموقراطية واقعية تجدد العهد بين العائلات الفرنسية والاسرة الملكية الفرنسية
من اجل رجوع الصالح العام لويس العشرون ملك فريسا

dimanche 17 mars 2013

"Je crois en Dieu, créateur du ciel et de la terre."

Palazzo à Florence

« NOUS AVONS UN PAPE
qui s'appellera François »

Ne nous y trompons pas: la bataille est déjà commencée.

La pauvreté et les pauvres sont sur toutes les lèvres: on n'en finit pas de ressasser les signaux envoyés par le nouveau Pape dès le soir même de son élection et après. Que sera-ce à la saint Joseph pour son installation? Mais au fait, le Pape émérite n'était-il pas humble lui aussi, lui surtout? Et qui sondera le dépouillement qu'aura représenté pour lui, non pas sa renonciation au ministère de Pierre, mais son exercice pendant huit ans? Lui qui se tenait habituellement sur des sommets d'intelligence où l'on rencontre si peu de monde. Ne nous y trompons pas: la pauvreté affichée par notre Saint Père le Pape François ne saurait être anecdotique.

Au seuil de la Passion, l'Evangile selon saint Jean nous propose cette remarque de Judas à propos d'un parfum précieux qu'on a abondamment répandu sur Jésus: on aurait pu le vendre et en donner le prix aux pauvres. Or ce n'était pas par souci des pauvres, mais pour le voler. Alors Jésus a cette réflexion: les pauvres seront toujours avec vous; mais moi, vous ne m'aurez pas toujours. On n'entendra rien au pontificat qui s'ouvre, si on ne le reçoit pas sur cette fréquence hautement sensible; on n'en sera pas si on ne le reçoit d'emblée dans la lumière crue des Trois Jours saints de Pâques. Il s'agit bien d'une remise en cause. Mais elle ne concerne pas la cylindrée de l'immatriculation SCV 1.

Le Saint Curé d'Ars dans sa simplicité a eu le mot juste: l'homme est un pauvre qui a besoin de tout demander à Dieu. Or il ne peut être question de cela, pour ceux qui fabriquent de plus en plus de pauvres de plus en plus pauvres, jusque dans les sociétés dites de bien-être. Voilà pourquoi l'hostilité est irréconciliable entre François et les pouvoirs, dont les Etats eux-mêmes ne sont plus que la devanture illusoire. Avant même son élection, il serait à abattre: car le Souverain Pontife émérite avait soigneusement pointé l'Adversaire, et laissé à l'Eglise toute clarté sur ces temps où nous sommes. Les medias, surpris, s'amusent pour l'instant du nouveau. Mais déjà, on crache à sa face le venin, tandis que le poison s'insinue jusque dans les âmes: ruiner, s'il était possible, l'oeuvre inouïe de Benoît XVI, pape de la vraie paix.

Ne nous y trompons pas, mors et vita duello conflixere mirando: rien de moins pour les jours qui viennent.

ان الانسان فقير في حاجة الى ان يطلب كل شيء من الله سبحانه فالفقر الذي يعيشه البابا الجديد ليس عبارة عن مظاهر خارجية سطحية وانما يقصد على العكس محاربة السلطات الخفية في العالم التي رسمها البابا السابق في المالية العالمية التي تسبب ظهور الفقراء حتى في المجتمعات المزعومة مجتمعات التنعم
من هنا نفهم ان الايام القادمة هي اصلا ايام الصلب والقيامة اي الموت والحياة في نزاع مقاصده خلاص الانسان وانتصار المسيح والكنيسة في الملكوت وتمجيد الله

Le 24 mars: Le printemps français!

LE 24 MARS A.D. 2013


Depuis le 13 janvier, déni de démocratie répétés à plusieurs reprises, aggravation des transgressions parlementaires, intimidation par le pouvoir, dégradation accélérée de la situation globale, n'ont fait qu'amplifier un mouvement de saine réaction humaine et spirituelle, qui se cherche son expression aussi politique. Il est temps de réfléchir à une refondation de la légitimité en France: et déjà tout simplement de rendre grâce à la Providence qui a voulu qu'en vertu des lois fondamentales de notre pays, les français ont toujours un roi. La moindre des choses serait qu'ils le sachent.

Une voie à explorer certainement:
(taper google)
La démocratie équitable. Pour le retour du bien commun.

dimanche 10 mars 2013

"Je crois en Jésus Christ qui est né de la Vierge Marie."

Le "Georges Leygues" dans la mer de vapeur


CINQUANTE ANS DE PERDU
POUR LE DEVELOPPEMENT DURABLE

Ou: « Les fils de ce monde sont plus avisés entre eux que les fils de la lumière » (Lc 16, 8). Il nous est difficile d'accepter de penser que derrière la transgression Taubira, c'est le bilan de dizaines d'années de dérive en matière d'amour et de sexualité, d'éducation et d'idéologie qui nous saute au visage. Mais il est grand temps d'avoir le courage de regarder les choses en face, et de ne plus se payer de mots. Finies les grandes déclarations des valeurs, finies les promesses de bonheur grâce au progrès: au niveau de la réalité des faits et dans tous les registres, le bilan est accablant.

Si l'on a bien entendu le Pape émérite Benoît XVI jusqu'au bout, on sait que l'horreur est due au refus de la vie et de la nature humaine telles que sorties des mains du Créateur. Or où tout cela se noue-t-il? Dans la contraception. Son but est clairement d'empêcher la conception d'un être humain, et son moyen principal pour cela est de contrer à coup de boutoir quotidien le cycle de fécondité des femmes. Est-ce que nous ignorons par ailleurs le business colossal que cette industrie représente? Est-ce que nous ne voulons pas savoir que pour engendrer l'aliénation la plus globale de tous les temps, c'est la contraception qui a été sciemment inoculée dans nos sociétés? Jusqu'à quand refuserons-nous de prendre en compte le scandale sanitaire de la pilule, alors que l'hécatombe familiale sociale et économique défie déjà l'entendement?

Quelle malédiction nous empêche donc de comprendre que la contraception soit le verrou qui condamne nos sociétés, et que la clef est de s'en affranchir pour que la vie reprenne, c'est le cas de le dire: est-ce que nous réfléchissons? Imaginons une seconde qu'on la remplace par les méthodes naturelles de régulation des naissances. On en fait la promotion gouvernementale en Inde et en Chine, en Afrique, pour leur efficacité: pas vraiment le judéo-christianisme crispé sur la morale de l'Inquisition! On verra se refaire chez nous, beaucoup plus vite qu'on ne le pense, tout ce qui a été défait: pourquoi? Parce que la vie humaine ne sera plus une menace, et nous serons ramenés immédiatement et par le fait même au respect des autres et de soi-même et à la responsabilité de nos actes: c'est le meilleur stimulant de toute l'activité humaine. Les sources de la vie, au propre et au figuré, de la personne et de la société, recommenceront à épancher leurs richesses, comme sorties des mains du Créateur. Tout bonnement. Tant pis pour l'idéologie à laquelle au fond rien ne nous lie: ce qui compte désormais, c'est nous-mêmes!

Le Souverain Pontife émérite avait proposé la notion de développement durable à partir de la dignité naturelle de la personne humaine. Rien ne peut se mettre en oeuvre, de sa troisième Encyclique universellement reconnue, tant que la contraception tyrannisera nos esprits comme elle infeste nos corps. Cinquante ans de perdus jusqu'à présent. Et pourtant, les catholiques au moins, et à travers eux, des pans entiers de nos sociétés auraient pu être protégés, dès juillet 1968, par la simple obéissance de la foi à l'Encyclique Humanae Vitae de Paul VI. Pourrions-nous avoir enfin pitié de nous-mêmes, et de nos jeunes et de nos enfants? Voulons-nous enfin recommencer à progresser vraiment?

لا شك ان العائق الجوهري للتطور الانساني منذ خمسين سنة هو منع الحمل بالوسائل الاسطناعية فلو اردنا ان نسترجع التنمية الاسرية والاجتماعية والاقتصادية لا بد من ان نلجأ الى تخطيط الولادات بالطرق  الطبيعية التي تحترم كرامة الانسان وحقيقة كونه فعندئذ لن تكون الحياة الانسانية تهديدا وانما بركة وقد رجعنا بالفعل نفسه الى احترام الذات والآخر والى الشعور بالمسؤولية في اعمالنا وذلك خير منشط للتنمية  في كل الميادين


jeudi 7 mars 2013

L'homme peut-il se lier?


Entendu ce matin sur Radio Espérance
La question qui hante toutes les consciences aujourd'hui: l'homme peut-il se lier pour toute la vie? Cela est-il conforme à sa nature? Cela n'est-il pas contraire à sa liberté? Le lien vaut-il la peine qu'on en souffre?

dimanche 3 mars 2013

"Je crois en Jésus Christ qui est mort, et a été enseveli."

Le "Georges Leygues" à la mer


CONVERSION ET DEMISSION

En préparation du 24 mars, des actions surprises sont constamment organisées, proposant sans cesse les mêmes slogans contre la dénaturation du mariage et pour le respect et la promotion de la famille naturelle. Elles ont le mérite de montrer qu'on « ne lâche rien » et que la mobilisation ne faiblit pas. On sait qu'effectivement la société est surveillée à la loupe, et il est important que l'on sache que le mouvement de la ManifPourTous reste actif. Mais les slogans reflètent-ils l'enjeu véritable de notre mobilisation? Ne sommes-nous pas enfermés maintenant dans la dialectique bipolaire qu'on voulait nous imposer?

Le plus important contre l'idéologie est de se maintenir résolument et toujours, contre notre tendance générale à tout théoriser, sur le terrain des faits concrets, et non pas au contraire sur celui des principes abstraits. Benoît XVI l'affirmait encore devant ses collaborateurs de la Curie Romaine le 21 décembre 2012 à l'occasion des Voeux de Noël: l'Eglise parle à partir de l'éclairage de la révélation qu'elle reçoit dans la foi, mais aussi à partir des réalisations d'humanité accumulées depuis 2000 ans, en une sorte de mémoire des expériences et des souffrances des hommes, qui lui ont enseigné peu à peu ce que c'est que l'humain, ses grandeurs et ses limites.

Or précisément: en réalité et en fait, combien d'enfants seront-ils adoptés par des personnes de même sexe? Combien feront-ils semblant de se marier avant à la mairie? A une transgression délirante, ne sommes-nous pas en train d'opposer un combat délirant? Tandis que nous passons sous silence: d'une part des crimes déjà réels et innombrables, pourtant dénoncés jusqu'ici chaque année par la Marche pour la Vie, sans parler d'autres transgressions sociétales meurtrières contre la famille et les commandements dont elle a la garde; d'autre part des dénis de démocratie de plus en plus profonds, avec la complicité scandaleuse des grands médias dits nationaux; et que dire des enjeux économiques qui sacrifient à la maximalisation du profit tant le travail que les inégalités de plus en plus criantes entre un petit nombre et une multitude d'autres, à l'échelle planétaire. « Cela devrait provoquer le désarroi » (Benoît XVI).

D'aucuns suggèrent la comparaison avec l'Allemagne des années 30. Le Saint Siège le dénonce plusieurs fois au plan mondial. Il ne saurait être question désormais de ballons roses tenus par des enfants en poussettes. Pour le 24 mars ce n'est rien de moins, pour le peuple qu'une conversion radicale, et pour le régime la démission immédiate. Pour le peuple, une conversion à la culture de la vie humaine, qui est un tout organiquement cohérent dont la famille reste toujours la source emblématique. Pour le régime, la démission avant d'être chassés du pouvoir, pour ceux qui travaillent avec autant d'impudence que de constance contre le bien commun.

Assez de paroles, le bilan au niveau des faits est accablant. Il faut reprendre le contrôle sur la société dans laquelle nous vivons, plutôt que de s'expatrier les uns après les autres. Il faut arrêter les régressions civilisationnelles mortifères et retrouver le sens du progrès humain durable et de l'élévation spirituelle qui sont notre bien commun. L'humanité même de l'homme, sortant constamment des mains du Créateur: c'est cela même qui est attaqué et qu'il s'agit de défendre pendant qu'il en est encore temps.

توبة واستقالة هذا كل ما نرجوه ليوم 24 مارس القادم التوبة للشعب الذي ينسى جوهر المقاومة من اجل الحياة البشرية وحقوق الانسان في كرامته الطبيعية الروحية المتماسكة اما الاستقالة فللحكام قبل ان يطردوا من الكراسي اذ يعملون بلا حياء ضد الصالح العام وعلى عدم احترام الديموقراطية